Présence, valeurs et actions
Rencontres
– Accueil individuel et groupes de parole
– Ateliers thématiques
– Evénements organisés par des professionnels et des survivants
Echanges
– Ecoute téléphonique
– Emails, courriers, Messenger
– Forum et Groupes Facebook
– Suivi psychologique sur dossier
Pôles
– Conseil juridique
– Soutien psychologique
Sensibilisation
– Information aux personnes
– Information via le Web
– Campagnes et prévention
Offrir
un lieu de parole et d’échange en toute sécurité et dans la confidentialité. Les victimes/survivants de l’inceste peuvent y être entendus, reconnus et peuvent bénéficier de notre soutien
Permettre
aux membres de se mobiliser dans un processus de changement, à travers les rencontres et événements, pour ne plus se voir comme victime, et dans le but de reprendre confiance et de se reconstruire. Devenir les acteurs d’une association collégiale et solidaire.
S’entraider
car les groupes d’entraide sont reconnus pour apporter un sentiment d’espoir, d’universalité (émotions communes), et de cohésion. Ensemble, nous possédons le savoir de l’expérience pour revivre!
Ecouter
Accueillir, informer, renseigner, orienter les victimes et les proches
Briser l’isolement
Permettre aux victimes de participer à, et d’organiser des événements
Fournir des outils
Par le biais d’ateliers d’expression, de bien-être et de travail personnel
Grâce à une médiathèque d’ouvrages et de supports autour de l’inceste
Soutenir
en créant un réseau d’organismes, organisations et professionnels pour accompagner les victimes
Notre vision
Les demandes et actions que nous soutenons et défendons
Non-consentement systématique
L’inceste doit être qualifié en tant que crime spécifique selon lequel un mineur, de moins de 18 ans, n’est jamais consentant pour des actes sexuels avec une personne ayant un ascendant.
Imprescriptibilité
Il n’existe pas de prescription sur l’amnésie et le trauma. L’agresseur ne doit pas en bénéficier et ne doit pas pouvoir réitérer.
Prise en charge des victimes à 100%
Les victimes doivent être prises en charge dans un parcours de soins spécifique avec des victimologues, psychologues, sexologues, etc. Soutenez la pétition.
Formation et prévention
Tous les acteurs du corps médical, judiciaire, du milieu scolaire ainsi que les gendarmes et policiers doivent être automatiquement formés aux violences sexuelles intrafamiliales, au recueil de la parole et à des actions de prévention.
Protection des mineurs
Les enfants doivent être obligatoirement protégés de leur agresseur par le signalement, le placement en lieu sécurisé, perte du droit de garde et toute autre mesure nécessaire.