
informatique et traumatisme
Avoir recours à des exercices informatiques en plus de la psychothérapie peut potentiellement aider à réduire les symptômes du trouble de stress post-traumatique (TSPT).
Avoir recours à des exercices informatiques en plus de la psychothérapie peut potentiellement aider à réduire les symptômes du trouble de stress post-traumatique (TSPT).
Les scientifiques ont identifié le circuit cérébral jouant un rôle clé dans l’expérience singulière qu’est l’état de dissociation qui se traduit par des sensations de déconnexion du corps et de la réalité.
Que se passerait-il si vous ne pouviez jamais différencier la tristesse du bonheur ? Si vous étiez en deuil ou en dépression sans le savoir vous-même ? Pouvez-vous imaginer à quel point cela serait déconcertant ?
pour les survivants du TPST, le cauchemar s’avère être un problème courant. Avec les flashbacks et les souvenirs intrusifs, les cauchemars font partie des symptômes qui font revivre au survivant du traumatisme la scène pendant des mois, voire des années après.
Quelque soit le type de traumatisme vécu, une agression physique ou un accident de voiture, une blessure de combat ou encore une catastrophe naturelle, les victimes de trouble de stress post-traumatique sont également plus susceptibles de développer un handicap lié à la douleur.
Le TSPT peut survenir après une période de stress et de trauma extrême. Parmi les symptômes du TSPT, on peut trouver les troubles du sommeil. Le traitement pour ces troubles dépend de comment le TSPT affecte le sommeil. De nombreux traitements sont disponibles.
Quand l’ordre compte : administration conjointe de l’Exposition Prolongée et de la thérapie EMDR pour soigner le TSPT
résultats prometteurs lors du premier essai clinique canadien impliquant la stimulation cérébrale profonde (DBS) pour traiter le trouble de stress post-traumatique (TSPT) réfractaire.
les taux de dysfonction sexuelle chez les femmes ayant été victimes d’agressions sexuelles pendant l’enfance sont beaucoup plus élevés que chez les femmes n’ayant pas subi de violences.
Face à des traumatismes répétés, prolongés ou graves, certains individus semblent plus prédisposés au SSPT, tandis que d’autres sont plus résilients.